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Les premiers panoramas ou représentations panoramiques sous diverses formes et exécutions datent du XVe/XVIe siècle. Jacques-Barthélemy Micheli du Crest, originaire de Genève, a dessiné en 1755 ce qui est probablement le premier panorama scientifique de montagnes. Depuis, les représentations ont fortement évolué et désormais, les formes numériques sont à l’ordre du jour.

Emblème, acronyme ou pyramide : l'histoire des signes distinctifs de swisstopo est riche en variantes. 

Les carnets de terrain sont remplis de dessins de paysages, de croquis de terrain, de séries de chiffres et d'autres notes. De cette manière, les topographes consignaient des informations importantes lorsqu’ils travaillaient sur le terrain. La collection de cartes swisstopo conserve les carnets de terrain comme des témoignages uniques de l'époque.

Parmi la collection de documents de swisstopo figurent de nombreux carnets de notes datant des années 1944–1949. Les annotations manuscrites qu’ils contiennent paraissent énigmatiques de prime abord.

Parmi les nombreux fonds qui ont enrichi les archives de swisstopo au fil des années, celui du géologue et chercheur Jakob Oberholzer se démarque par la variété et la richesse des documents et des objets conservés.

Dans les collections de swisstopo, on trouve, alignées dans de vieilles armoires en bois, des plaques de verre colorées et transparentes. Une série de plaques de verre attire particulièrement l’attention en raison de ses formes si particulières.

Les outils aussi peuvent raconter des histoires, pour autant qu’ils soient bien documentés et que leur utilisation d’antan soit connue. La remise à neuf est passionnante et parfois même surprenante.

Les images animées ont été très tôt un moyen de communication populaire chez swisstopo. Qu’il s’agisse d’un film (avec ou sans son) ou d’un diaporama (avec ou sans son), les images animées permettaient de représenter de manière claire les activités des géodésiens, des cartographes et des topographes.